Qu’est-ce qu’un complément alimentaire?
Quelle en est la définition ?
La Directive 2002/46/CE définit les compléments alimentaires comme “des denrées alimentaires dont le but est de compléter un régime alimentaire normal, et qui constituent une source concentrée de nutriments et autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés.”
L’objectif des compléments alimentaires est donc de compléter le régime alimentaire normal afin d’assurer les apports en nutriments et autres substances nécessaires à une bonne santé. Ils permettent également d’éviter les carences liées à un régime alimentaire appauvri.
Les experts d’Ayu’in ont crées des compléments alimentaires ayurvédiques selon l’approche Ayurvédique et les normes européennes en vigueur. 3 cures ayurvédiques de plantes bio pour la digestion, la gestion du stress et le regain d’énergie.
Quelles sont les contraintes légales concernant les compléments alimentaires ?
Les compléments alimentaires sont des concentrés de minéraux, vitamines, acides gras, acides aminés, probiotiques, oligoéléments ou extraits de plantes. En France, ils répondent à une série de contraintes législatives.
- Tout d’abord, ils doivent être proposés sous forme de doses. Plusieurs formes galéniques sont disponibles : gélules, comprimés, pastilles, et même bonbons. Il est également possible de les retrouver sous forme plus brute lorsqu’ils sont distribués dans des sachets de poudre ou sous forme liquide dans des ampoules ou des flacons compte-gouttes.
- Ensuite, avant de commercialiser un complément alimentaire, le fabricant doit déposer un dossier à la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF). Cet organisme national veille au respect des règles de fabrication et de commercialisation des produits.
- De plus, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) contrôle les allégations, c’est-à-dire les messages contenus sur l’emballage d’un produit ou au sein d’une publicité ou d’un site internet lui étant consacré, qui décrivent les caractéristiques du produit ou de ses composants et leur bienfaits sur la santé.
L’Union européenne a créé un registre harmonisant les allégations autorisées (Règlement 1924/2006). Ce registre est alimenté par une liste contenant environ 4600 allégations autorisées établie par l’Autorité européenne de sécurité des aliments [European Food Safety Authority-AFSA et consultable sur le site de la Commission européenne.
Selon le Règlement 1924/2006, trois types d’allégations de santé concernent les denrées alimentaires :
- Les allégations de santé relevant de l’article 13 font référence au rôle d’un nutriment ou d’autres substances dans le bon fonctionnement de l’organisme (croissance, développement, fonctions physiologiques et comportementales) ;
- Les allégations de santé relevant de l’article 14 concernent les substances susceptibles de réduire les risques de maladie (article 14.1a), ou qui relèvent de la santé des enfants (article 14.1b) ;
- Enfin, les allégations de santé autorisées et figurant dans la liste établie par l’Union Européenne.
En résumé, l’encadrement des allégations, au niveau européen, permet de fournir des informations correctes et vérifiées aux consommateurs. Il est interdit d’utiliser des termes tels que “guérir” et “soin”, réservés à la médecine, ou bien encore des termes comme “miracle”, propres à influencer et tromper le consommateur.
Quelle est la différence entre complément alimentaire et complément nutritionnel ?
Les compléments alimentaires ne doivent pas être confondus avec les compléments nutritionnels (CNO). Les premiers s’achètent entre autres en ligne, en pharmacie, en magasins bio, en grandes et moyennes surfaces, alors que les compléments nutritionnels ne sont prescrits que par ordonnance médicale et uniquement disponibles en pharmacie. Ils sont recommandés pour les patients qui souffrent de maladies provoquant des troubles diététiques afin de prévenir ou corriger un état de dénutrition. Cela justifie leur prise en charge partielle par la Sécurité sociale, en vertu de critères définis par l’arrêté du 7 mai 2019 portant modification à l’article L. 165-1 du Code de la Sécurité sociale.
Que représente le marché des compléments alimentaires en Europe et dans le monde ?
Selon un rapport d’Adroit Market Research, les prévisions pour le marché mondial des compléments alimentaires sont optimistes car il est envisagé que la valeur du marché mondial s’élève à 142.9 milliards de USD d’ici 2025.
Cet engouement pour les compléments alimentaires résulte d’une envie de plus en plus marquée d’améliorer son hygiène de vie, de prendre davantage soin de soi et de sa santé. Le vieillissement de la population et l’apparition croissante de maladies chroniques y contribuent également.
L’Europe absorbe 18% du marché mondial des compléments alimentaires avec une inclination marquée pour les vitamines et minéraux, les compléments alimentaires pour sportifs et ceux à base de plantes.
Les plus gros consommateurs sont cependant les États-Unis avec 34% du marché. La Chine représente 14% des parts de marché et le reste du monde se partage les 34% restants.
Que représente le marché des compléments alimentaires en France ?
En France, le marché des compléments alimentaires est en plein essor avec 1.9 milliard d’euros en 2018. Les produits dédiés aux troubles de la santé tels que les problèmes digestifs, le stress, le manque de sommeil ou de vitalité y sont en forte demande.
Selon un sondage commandé par Synadiet et réalisé en ligne début janvier 2019 par OpinionWay auprès de 1.000 personnes, près de 2/3 des Français (65%, contre 52% en 2017) pensent que «consommer des compléments alimentaires permet de prévenir ou ralentir certains problèmes de santé».
Les compléments alimentaires en France sont principalement vendus en pharmacie. Viennent ensuite d’autres canaux de distribution comme la vente en ligne, les magasins bio, les grandes et moyennes surfaces.
Selon un rapport de Synadiet, syndicat des compléments alimentaires :
“En pharmacie, les ventes de compléments alimentaires à base de plantes étaient en croissance de 12% en 2017, générant un chiffre d’affaires de plus de 400 millions d’euros. Parmi ceux-ci, les ventes de compléments alimentaires à base d’huiles essentielles comptent pour près de 20 millions d’euros avec une croissance de 4,5% (source IQVIA).
On constate ainsi que l’occurrence des termes « plantes » et « soin » dans les recherches Google en France a plus que doublé entre 2004 et 2018.
Deux fois plus de livres paraissent actuellement sur le sujet par rapport à 2004 et le nombre d’articles sur la santé par les plantes a quasiment triplé depuis 2010.
Par ailleurs, de nombreuses formations se créent sur le sujet. On peut ainsi trouver plus d’une vingtaine de formations de phytothérapie à Paris.”
En résumé, le marché des compléments alimentaires en France est en pleine croissance:
- Il représente 4500 références et 1,9 milliard d’euros de ventes en 2018.
- Le segment des compléments à base de plantes en 2017 représentait entre 500 et 800 millions d’euros avec une croissance de +12% dans le canal pharmacie qui totalise plus de 50% des ventes.
Comment distinguer les compléments alimentaires synthétiques des compléments alimentaires naturels ?
Les gens consomment de plus en plus de compléments alimentaires dans la mesure où l’alimentation disponible ne suffit plus à leur apporter l’ensemble des nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.
Cependant, il est très facile de se perdre dans l’offre importante de compléments alimentaires, et de trouver les bonnes informations.
Il existe deux types de compléments alimentaires qu’il est important de différencier : les nutriments synthétiques et les compléments alimentaires naturels.
Les nutriments synthétiques sont des nutriments chimiques produits en laboratoire pharmaceutique. Ils peuvent être prescrits par les médecins, ou achetés directement en pharmacie sans ordonnance.
On reconnaît un complément alimentaire synthétique à la liste des ingrédients mentionnés sur l’étiquette. S’il s’agit de noms chimiques (par exemple acide ascorbique, thiamine, riboflavine), ce sont alors des nutriments synthétiques.
Les étiquettes des compléments alimentaires naturels comprendront la mention « 100 % bio » ou « 100 % à base d’ingrédients d’origine végétale » ou « …animale ».
La production de compléments à base de molécules de synthèse est plus économique que la production de compléments à base d’ingrédients naturels concentrés.
Cependant, les premiers, produits de manière artificielle et selon un procédé industriel, sont moins bien assimilés par l’organisme que les seconds issus de composants alimentaires entièrement naturels.
Malgré ces inconvénients prouvés, la logique du marché favorise la production massive des compléments alimentaires de synthèse meilleurs marché que les naturels. Le prix plus ou moins élevé constitue ainsi pour le consommateur un indice sur la nature synthétique ou naturelle du produit.
Qu’est ce qu’un complément alimentaire ayurvédique ?
Quelle est la place des plantes dans la médecine ayurvédique ?
L’Ayurvéda est une médecine traditionnelle fondée sur l’utilisation des plantes médicinales qui constituent la majorité des médicaments prescrits en Inde par les médecins ayurvédiques. Les plantes ont ainsi été systématiquement analysées, étudiées et classées pour constituer une pharmacopée ayurvédique qui en regroupe plus de quatre cents.
Très utilisées en Ayurvéda, les plantes peuvent être conseillées pour des traitements internes ou externes. Dans le premier cas, elles sont administrées sous formes de comprimés, de gélules, de poudre ou de liquide. Dans le second, elles le sont au moyen d’huiles médicinales ou de mélanges de différentes poudres utilisés dans certains soins, classiquement en les insérant dans des pochons.
L’Ayurveda a établi un système de classification des plantes afin de simplifier leur compréhension et leur utilisation.
La médecine ayurvédique a une approche très pragmatique des plantes qui sont utilisées depuis des siècles pour soulager et traiter les déséquilibres. La connaissance des différentes plantes médicinales ayurvédiques s’est développée de manière empirique grâce à l’expérience.
De plus, une approche plus spirituelle de la phytothérapie, ou utilisation des plantes pour constituer des traitements, permet de considérer les plantes comme des êtres vivants possédant leur propre énergie, leurs propres qualités et leurs propres pouvoirs.
C’est en identifiant l’énergie et les propriétés des plantes, qu’une méthodologie de classification a pu être mise en place.
De nombreuses plantes propres à l’Inde sont disponibles. Cependant, afin d’étendre et d’adapter les traitements au monde entier, la méthodologie a été étendue aux plantes présentes en Occident grâce aux travaux de plusieurs médecins ayurvédiques dont Atreya Smith, David Frawley et Vasant Lad.
Comment les plantes sont-elles analysées et classifiées en Ayurveda?
Tout comme les aliments, la phytothérapie en Ayurveda répond à une méthodologie de classification bien précise qui repose, pour chaque plante, sur les informations suivantes:
- Le nom ;
- La forme ;
- Les qualités (gunas) ;
- Les effets thérapeutiques (karmas) ;
- La préparation et les dosages nécessaires au traitements (prayoga).
Le nom, en particulier la dénomination latine, assure une bonne identification de la plante et évite les erreurs ou confusions entre plantes.
La forme se réfère à la partie de la plante utilisée pour confectionner un remède. Il peut s’agir des feuilles, des racines, des graines, de la résine, de l’écorce, des fleurs, etc. C’est également une information fondamentale pour la bonne utilisation de la plante en traitement thérapeutique.
Les qualités ou gunas permettent d’identifier les aspects énergétiques de la plante. Elles se répartissent au sein des catégories suivantes :
- Le rasa correspond à la saveur d’une plante. Il peut être doux, acide, salé, piquant, amer ou astringent. Chaque saveur a un effet immédiat qui affecte non seulement le métabolisme d’un individu mais aussi l’individu lui-même, en fonction de sa constitution. Par conséquent, il est important de prendre note des saveurs d’une plante afin de déterminer son dosage pour un individu.
- Le virya est l’effet immédiat procuré par la plante: rafraîchissant ou bien chauffant. Il agit sur le feu digestif pour faciliter l’assimilation des composants de la plante et concourir à l’efficacité de ses effets thérapeutiques (karmas).
- Le vipaka est l’effet post-digestif. Il existe trois formes possibles de Vipaka : doux, acide et piquant.
- Le prabhava est la caractéristique thérapeutique essentielle d’une plante.
Les deux dernières informations, le karma (les effets thérapeutiques) et le prayoga (préparation et posologie), permettent de savoir à qui, à quel moment, de quelle manière et selon quelle posologie la plante doit être administrée.
Quelle est la différence entre les compléments de plantes simples et les compléments de formules complexes?
En Ayurvéda, deux aspects sont pris en compte pour accompagner une personne : sa constitution de naissance appelée prakruti et son état présent, vikruti, caractérisé par un ou plusieurs déséquilibres éventuels.
Physique, personnalité et fonctionnement du métabolisme déterminent la constitution de naissance à partir des notions des trois doshas.
Pour déterminer votre dosha dominant faites le test de dosha proposé par Ayu’in. Ce test ne remplacera jamais une consultation avec un thérapeute en Ayurvéda.
Des facteurs inadaptés et nuisibles à la santé tels que l’ environnement de vie, le climat, les habitudes alimentaires, l’hygiène de vie et le travail contribuent ensuite à créer des déséquilibres.
L’étendue de la pharmacopée ayurvédique permet de s’adapter tant aux besoins de chaque individu en fonction de son profil doshique qu’à ses déséquilibres.
Une plante peut être proposée seule, on parle alors de formule simple en complément alimentaire, lorsque ses qualités répondent parfaitement à la constitution ou aux problèmes de la personne. Pour aller chercher différents effets sur une problématique, il est possible de prendre plusieurs plantes, donc plusieurs comprimés, gélules ou poudre pour réaliser un mélange correspondant aux besoins de chacun. Cependant, apparaît ici la problématique de la multiplication des comprimés à prendre et surtout quelles plantes choisir pour son problème ?
La solution réside dans les formules complexes de complément alimentaire, c’est-à-dire le mélange de plusieurs plantes dans une même gélule ou comprimé. En plus de la facilité de prise et l’indication du problème abordé, mélanger différentes plantes, permet de créer une synergie qui démultiplie l’effet qu’aurait chaque plante individuellement. La formule complexe la plus populaires en Ayurvéda est nommée Triphala, allie l’amalaki à l’haritahi et au bibhitaki. Cette synergie de 3 plantes permet une formule tridoshique, qui convient à tous, qui facilite la digestion, favorise l’assimilation des bons nutriments et élimine des toxines, appelées ama en sanskrit.
Chez Ayu’in, nos formules complexes ont été pensées pour que chaque plantes ait un rôle spécifique dans le but de renforcer l’efficacité de l’ensemble, améliorer l’assimilation des principes actifs et faciliter la digestion. Cette manière de penser une formule a été décrite par Atreya Smith dans la livre de référence “Dravyaguna pour les Occidentaux”.
Par exemple, certaines plantes de la formule sont uniquement destinées à faciliter la digestion des autres ingrédients de la formule et l’élimination des toxines suscités par le mal traité. Cette approche est donc conçue pour prendre en compte l’importance du feu digestif et de la bonne assimilation des plantes. Les compléments alimentaires ayurvédiques d’Ayu’in suivent cette logique, découvez-en davantage dans le concept d’Ayu’in.
Comme pour le Triphala, le mélange de plusieurs plantes peut se révéler utile pour simplifier la prise d’un complément alimentaire en rendant la formule tridoshique, c’est à dire équilibrant tous les doshas.
Pour quelles raisons tombons-nous malades selon l’Ayurvéda ?
Comment les déséquilibres se créent-ils ?
La médecine ayurvédique considère important d’identifier l’origine de la maladie, qui trouve sa source dans un ou plusieurs déséquilibres, afin d’éviter d’en traiter uniquement les symptômes, et d’agir de manière holistique, c’est-à-dire en prenant en compte l’individu dans sa globalité.
Différents facteurs contribuent à l’apparition et à l’aggravation des déséquilibres.
Tout d’abord, il est important de connaître sa constitution de naissance, exprimée sous forme de dosha, afin de connaître et d’appréhender ce qui est bon pour nous.
Le concept de dosha est fondamental en Ayurvéda dans la mesure où il est associé à la nature profonde d’un individu et permet ainsi de savoir quelles sont ses caractéristiques anatomiques et physiologiques. Or, les maladies proviennent des déséquilibres qui s’opèrent au fur et à mesure par rapport à sa constitution de naissance. Tout au long de notre vie, des déséquilibres apparaissent et s’accentuent en raison de certaines des habitudes que nous prenons. Nous pensons que ses habitudes sont bienfaisantes alors même qu’elles suscitent l’augmentation d’un ou deux doshas qui, lorsqu’elle devient excessive, est prompte à entraîner des déséquilibres. Il en va ainsi d’une mauvaise alimentation, d’une hygiène de vie inadaptée ou la poursuite d’activités nocives.
La médecine ayurvédique se fonde sur l’idée que la façon dont nous utilisons notre corps et notre esprit au quotidien fait notre santé.
Si nous suivons une alimentation et une hygiène de vie qui correspondent parfaitement à notre métabolisme, nous sommes alors épanouis et en bonne santé.
Par exemple, une personne de constitution légère, sèche et mobile (profil Vata) privilégiera une alimentation nutritive et hydratante, une hygiène de vie stable et favorisant l’ancrage afin d’éviter tout déséquilibre sur le long terme.
A contrario, un individu au profil lourd, huileux et lent (profil Kapha) évitera la nourriture grasse et industrielle ainsi que les activités lentes favorisant le flegme.
Comment les maladies apparaissent et évoluent-elles selon l’Ayurveda?
Selon la médecine ayurvédique, c’est l’augmentation d’un ou plusieurs doshas qui provoque une maladie. Ces dysfonctionnements des doshas sont aggravés par des facteurs extérieurs tels que l’alimentation, le style de vie, les saisons, les émotions, etc.
Le processus de survenance de la maladie est décrit de manière assez simple en Ayurveda. Il est dû aux facteurs aggravants décrits ci-dessus qui affaiblissent notre feu digestif, appelé agni en sanskrit.
Le feu digestif est garant d’une bonne santé car il autorise une bonne assimilation et une bonne digestion de ce que nous ingérons qu’il s’agisse d’aliments, de boissons ou de compléments alimentaires.
La médecine ayurvédique distingue différentes étapes de la maladie: l’accumulation, l’aggravation, le débordement, la réimplantation, la manifestation et la diversification.
– Si la digestion est affaiblie par une mauvaise alimentation (nourriture trop lourde, industrielle, grasse) ou un style de vie néfaste (peu de sommeil, déplacements quotidiens, irrégularité dans les horaires de repas), le bol alimentaire a alors tendance à stagner dans l’estomac et à fermenter. Cela provoque l’apparition de toxines, appelée ama en sanskrit qui s’accumulent et occasionnent de légers symptômes. Ces derniers diffèrent en fonction du dosha augmenté et se matérialisent sous forme de troubles digestifs (Vata), d’acidité (Pitta) ou de paresse (Kapha). Il s’agit de l’étape de l’accumulation.
– Les toxines continuent d’aggraver un ou plusieurs doshas et débordent dans d’autres parties du corps. Les symptômes deviennent alors plus puissants. C’est l’étape de l’aggravation.
– L’étape suivante est celle du débordement. Les toxines ne se contentent plus d’être présentes dans le système digestif mais s’étendent au sang. Les déséquilibres consécutifs à l’augmentation ou diminution d’un ou des doshas par rapport à l’état de naissance pse manifestent alors dans divers autres organes et tissus du corps. Les symptômes sont vigoureux et généraux, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas encore localisés à un emplacement spécifique. C’est à ce moment précis qu’il est important de mettre en place un programme afin de retrouver l’équilibre propre à faire disparaître les symptômes.
– Si rien n’est fait, suit l’étape de la réimplantation. Les déséquilibres aggravés entre les doshas se concentrent dans des endroits spécifiques du corps et s’y installent. Au cours de cette étape, les ennuis de santé deviennent plus réguliers et plus fréquents. En général, c’est le moment où l’on sent qu’il devient nécessaire de consulter un médecin.
– L‘étape de la manifestation est atteinte lorsque la maladie est bien identifiée. Il est alors impérieux de mettre en place un traitement adapté est afin de déloger la maladie.
– La dernière étape est celle de la diversification. La maladie a été identifiée et se développe. Il devient à ce stade compliqué de contrôler la maladie qui est profonde et dont les symptômes sont difficiles à traiter. Même à ce stade, un traitement adapté rend possible l’amélioration de l’état du patient, avec de la volonté et dans la mesure où ce dernier reste fort physiquement et mentalement.
Comment se soigner grâce à l’Ayurvéda ?
Pourquoi l’alimentation est-elle notre “premier médicament” ?
Comme indiqué précédemment, la clé d’une bonne santé selon l’Ayurvéda est une alimentation, et donc une digestion, équilibrée, c’est-à-dire un feu digestif qui fonctionne correctement
La base d’un bon équilibre du corps et de l’esprit, est une alimentation saine, équilibrée et adaptée à notre constitution et à nos besoins.
Avant de se précipiter sur la consommation de plantes ou de médicaments, il est important de veiller à cette étape préalable fondamentale que constitue l’équilibre alimentaire. En effet, notre alimentation sera alors bien digérée, et donc, les nutriments seront bien assimilés et les toxines et déchets bien éliminés.
Il est fortement recommandé en Ayurvéda de se nourrir des aliments frais, de saison, et, si possible, produits localement. En effet, plus les aliments sont frais, plus il contiennent d’énergie. Ils favorisent ainsi une bonne circulation de l’énergie vitale (prana) dans le corps et, par là-même, une meilleure santé.
Comment l’hygiène de vie influence-t-elle notre santé ?
L’Ayurvéda insiste beaucoup sur l’hygiène de vie comme facteur de bonne santé. En effet, un style de vie adapté, régulier et stable favorise un bon équilibre des doshas.
Par exemple, une personne au profil Vata, dosha lié à l’énergie du mouvement, devra privilégier un style de vie stabilisant et ancrant : des horaires de coucher et lever et de repas réguliers, des activités calmes et favorisant la concentration, des rituels de bien-être quotidiens et apaisants.
L’article sur les rituels ayurvédiques du matin vous procurera davantage d’informations.
Comment les plantes sont-elles utilisées pour soigner en Ayurvéda ?
Tout au long de cet article, nous avons insisté sur le fait que l’Ayurvéda accorde une place très importante aux plantes médicinales et à leurs pouvoirs curatifs.
Elles sont utilisées en interne avec les compléments alimentaires, les tisanes, la pratique de la diététique et l’utilisation des épices.
Elles le sont aussi en externe lors des soins, avec l’utilisation d’huiles médicinales dans lesquelles des plantes ont macéré. Elles sont appliquées lors d’un massage ou grâce à des pochons.
Comment s’assurer de la qualité d’un complément alimentaire ayurvédique ?
Quelle importance l’origine des plantes revêt-elle?
Connaître l’origine des plantes est essentiel pour s’assurer de la bonne qualité des plantes utilisées et du complément qui en résulte in fine.
Tout d’abord, en fonction des pays et des sites de production, la matière première utilisée est de plus ou moins bonne qualité ou se trouve même remplacée par un substitut, comme cela se pratique communément en Chine, afin de réduire le coût final du complément alimentaire.
De surcroît, certains pays souffrent de problèmes écologiques consécutifs à une forte industrialisation et à une mauvaise protection de l’environnement. C’est le cas en Chine, par exemple, où les plantes sont souvent cultivées sur des sols contaminés et contiennent ainsi des produits préjudiciables à la santé des consommateurs.
Manque d’hygiène et pollution des sols constituent, dans une moindre mesure, des problèmes qui affectent également l’Inde.
Il est donc fondamental de s’assurer de l’origine des plantes récoltées en Inde, d’éviter celles originaires de Chine et de privilégier une production des compléments alimentaires en Europe.
C’est le choix que nous avons fait chez Ayu’in. Cela garantit que les plantes médicinales que nous utilisons ont été récoltées selon des critères de qualité biologique et éthique. Elles sont également doublement testées dans nos laboratoires indiens et français et conditionnées selon les normes européennes, retrouvez nos différentes formules ici.
Enfin, nous avons vu que la qualité des compléments alimentaires est induite l’ajout ou non de substances chimiques comme substituts des matières premières naturelles. Dans la mesure où l’utilisation de substituts chimique réduits les coûts de manière conséquente, un complément alimentaire entièrement naturel et de qualité sera forcément moins bon marché qu’un complément chimiquement constitué.
Le prix d’un complément alimentaire peut donc être un indicateur de qualité.
Les garanties affichées par le fabricant, en particulier les labels, informent le consommateur tout en donnant de la visibilité à la qualité du produit.
La certification Ecocert garantit que les compléments alimentaires produits respectent les normes environnementales et sociales. Il n’est en effet octroyé que si au moins 95% de ses ingrédients végétaux sont issus de l’agriculture biologique et si aucun parfum, colorant de synthèse, silicone ou test sur les animaux n’a été utilisé.
Cette certification n’est obtenue qu’après un audit rigoureux effectué selon un cahier des charges répertoriant l’ensemble des critères et normes à respecter et suivie d’inspections annuelles. Elle est prouvée par la présence sur l’emballage d’un produit de la mention “certifié par Ecocert” et/ou du logo correspondant.
Pourquoi privilégier des plantes issues d’une agriculture biologique ?
Consommer des produits biologiques permet de veiller à ce que nous ingérons en s’assurant que les produits que nous consommons sont naturels et le moins possible exposés aux pesticides (herbicides, fongicides et insecticides).
Les plantes cultivées sans substance chimique montrent une meilleure efficacité car elles ne sont pas dénaturées ; elles conservent leurs vertus naturelles et contiennent davantage de prana, l’énergie vitale.
L’agriculture intensive et la transformation industrielle des aliments rendent nécessaire l’usage de substances chimiques qui ont des conséquences néfastes sur notre santé à haute dose.
Privilégier des plantes cultivées de manière biologique permet également de soutenir une économie favorable à notre planète, et de s’engager de manière consciente dans la protection de l’environnement et de la nature.
En effet, l’utilisation massive de pesticides et engrais chimiques détériore les sols et affaiblit la flore. Au contraire, la culture biologique utilise des engrais constitués de matière organique végétale ou animale qui alimentent et régénèrent les sols. Les agriculteurs bio font appel à une méthode qui remonte au Moyen-Âge pour éviter les pesticides et obtenir un bon rendement sur leurs terres : l’alternance de cultures sur une même parcelle. La rotation permet de limiter l’apparition et la prolifération des parasites car certaines cultures attirent certains parasites, en changeant de culture, le parasite ne s’implante pas. De plus, le sol se repose favorisant ainsi le rendement de la terre et produisant des produits de meilleure qualité. De nombreuses autres méthodes accompagnent la démarche bio, on parle alors d’agroécologie qui recherche l’équilibre des écosystèmes pour obtenir des cultures plus résiliantes. Autorégulation des populations d’insectes, intégration de couloirs de déplacement dans les champs pour les animaux, replantation des haies en bordure de champs ainsi que des fossés pour l’écoulement des eaux, pour ne citer que celles-là.
Enfin, il est important de constater que les denrées issues d’une agriculture bio sont naturellement respectueuses des saisons puisque l’on n’influe pas sur leur développement naturel et qu’elles sont généralement cueillies à maturité ce qui optimise leurs saveurs et leurs vertus.
Quels sont les critères de qualité d’un complément alimentaire ayurvédique ?
Les quelques points à retenir pour s’assurer de la bonne qualité de vos compléments alimentaires ayurvédiques sont:
- L’étiquetage. Il doit bien indiquer le terme “complément alimentaire”, la liste des ingrédients, la dose quotidienne recommandée, les précautions d’emploi ou contre-indications.
- L’origine des matières premières, et plus particulièrement des plantes. Il faut être plus vigilant avec les compléments vendus sur internet et s’assurer que les informations sont bien disponibles sur le site du vendeur.
- La labellisation bio. Elle garantit le respect de normes environnementales et sociétales.
- Pour les personnes végétariennes ou végétaliennes, s’assurer que les gélules sont végétales. Certaines gélules sont fabriquées à partir de gélatine animale d’origine bovine, porcine, aviaire ou marine.
Comment choisir les compléments alimentaires ayurvédiques qui conviennent ?
Quelle est l’offre existante pour ce qui est des compléments alimentaires ayurvédiques ?
Les compléments alimentaires ayurvédiques sont proposés sous diverses formes galéniques, par exemple comprimé, gélule, poudre.
La médecine ayurvédique privilégie souvent cette dernière dans la mesure où la réduction en poudre autorise l’association de plusieurs plantes sans autre transformation, d’ajouts d’aucune sorte et à sa guise. Cependant, le goût très prononcé et désagréable pour beaucoup de certaines plantes n’en rend pas toujours l’absorption aisée.
Les plantes médicinales se prennent également sous d’autres formes :
- infusions (ou tisane) : résultat du fait de placer un ingrédient, généralement séché, dans un liquide déjà chaud, généralement bouillant pour en extraire les principes solubles. Idéal pour accompagner la prise de compléments alimentaires ;
- décoctions : faire bouillir des substances végétales dans de l’eau ou autre liquide froid, puis, faire bouillir ;
- teintures mères : macération dans de l’alcool. Efficace mais à prendre sur le court-terme ;
- pousses fraîches.
Pourquoi choisir une formule complexe sous forme de gélules ?
Une formule complexe présente l’avantage de cibler un mal précis dans la mesure où les plantes y sont été sélectionnées pour leurs propriétés complémentaires et permettent d’aborder le problème sous ses différentes facettes.
En effet, les plantes qui composent une formule complexe remplissent chacune un rôle bien défini et se complètent les unes les autres en stimulant leurs effets respectifs.
Les gélules permettent d’administrer un dosage précis calculé de manière à ce que l’effet des plantes soit optimal. Elles évitent également le goût amer de certaines plantes médicinales qui peut être désagréable au palais de certains consommateurs et les inciter à arrêter leur cure.
Les gélules d’Ayu’in sont pensées pour être facilement avalées et ont une bonne odeur de plantes. Retrouvez l’ensemble des formules dans la boutique Ayu’in.
Comment prendre des compléments alimentaires ayurvédiques ?
A quel moment faut-il prendre ses compléments alimentaires ?
Les compléments alimentaires naturels à base de plantes peuvent être pris tout au long de l’année même s’ils sont particulièrement conseillés lors des changements de saison. Ils agissent ainsi de manière préventive sur la santé en évitant l’occurrence des conditions favorables à l’apparition des maladies.
En effet, pris dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée et d’une hygiène de vie adaptée, ils garantissent un équilibre physique et mental et favorisent l’immunité.
La prise de compléments alimentaires sous forme de cure permet aux plantes d’agir en profondeur et durablement. Une cure qui se prolonge de 1 à 3 mois habitue l’organisme aux effets des plantes médicinales et favorise une bonne assimilation des substances.
Le moment de la prise des compléments alimentaires dans la journée est déterminé par rapport à la digestion et plus particulièrement au feu digestif de la personne.
Ainsi, une personne ayant un feu digestif de type Vata, soit plutôt variable, préférera une prise avant le repas.
Les personnes de type Pitta, ont tendance à avoir un feu digestif puissant, qui brûle tout et très vite. Afin que les plantes médicinales ne soient pas consumées de suite, il est préférable alors de prendre les compléments alimentaires durant le repas.
Enfin, les personnes ayant un feu digestif faible, plutôt de type Kapha favoriseront une prise après le repas.
Pour une bonne assimilation et efficacité, l’Ayurveda préconise plusieurs doses dans la journée. Même si cela peut être contraignant, la prise minimale pour les plantes médicinales est de deux fois par jour.
Comment les compléments alimentaires se prennent-ils ?
Il est entendu que la manière de prendre un complément alimentaire diffère selon sa forme galénique.
S’ils se présentent sous forme de gélule ou de comprimé, les compléments alimentaires s’avalent avec un peu d’eau.
Diverses préparations facilitent l’absorption d’un complément alimentaire sous forme de poudre. Une préparation consiste à agglomérer la poudre à un ingrédient, qui sert alors de véhicule au complément alimentaire, et se choisit en fonction de l’individu et de l’organe ou de la zone du corps à traiter.
Ces véhicules de plantes sous forme de poudre, appelés anupana en sanskrit, sont les suivants:
- Le lait chaud (de vache, de chèvre ou d’origine végétale) pour travailler sur le système reproducteur la lymphe, l’estomac, les poumons et les reins ;
- L’eau pour cibler la vessie et les reins ;
- Le ghee pour agir sur le cerveau, les reins et la digestion ;
- Le miel et le sucre pour traiter le pancréas, le sang et la graisse ;
- Le sucre, également, pour agir sur la lymphe;
- Le gel d’aloé véra pour viser le foie, l’intestin grêle et la vésicule biliaire ;
- Les jus de fruits pour cibler le pancréas et les intestins.
Où trouver des compléments alimentaires ayurvédiques ?
Est-il facile de trouver des compléments alimentaires ayurvédiques en France ?
L’Ayurvéda se démocratise de plus en plus. De ce fait, le marché des compléments alimentaires est partout en plein essor. En conséquence, de plus en plus de marques proposent des compléments alimentaires ayurvédiques et mettent leurs produits à disposition du marché français à travers internet, les magasins bio ou les pharmacies.
Ayu’in a choisi de se positionner sur ce marché en tant que premier fabricant français de compléments alimentaires ayurvédiques élaborés selon des formules complexes propres avec des plantes issues de l’agriculture biologique.
Peut-on faire confiance aux sites indiens ?
Des sites internet indiens proposent des compléments alimentaires ayurvédiques. Ils ont d’abord l’inconvénient de ne pas être disponibles en français. Il est cependant surtout important de noter que les produits qui y sont commercialisés ne sont pas soumis aux normes européennes et qu’il y est difficile, voire impossible, de trouver l’information concernant l’origine des plantes.
Comment les compléments alimentaires ayurvédiques sont-ils fabriqués ?
Comment développer des compléments alimentaires ?
La décision de créer et de commercialiser des compléments alimentaires implique un ensemble d’étapes et de recours à des prestataires afin d’aboutir à une réalisation du projet sérieuse.
Voici un aperçu simplifié des différents stades de développement nécessaires:
- Gestion du projet: analyse de marché ; définition du positionnement ; rédaction du cahier des charges en prenant en compte les obligations réglementaires;
- Formulation théorique et technique: choix des ingrédients en fonction du positionnement, des contraintes réglementaires, des études scientifiques et de la synergie entre les plantes. Définition du dosage, de la posologie, des conseils d’utilisation et des contre-indications. Choix du packaging;
- Validation des formules: dossier technique des formules avec bulletins d’analyses ainsi que contenu des étiquettes produit est envoyé à la DGCCRF, qui a 2 mois pour apporter des modifications.
- Production:
Sans modifications apportées par la DGCCRF :
– matières premières sourcées avec leurs fiches techniques indiquant leur origine, leurs caractéristiques et leurs analyses microbiologiques ;
– production par le laboratoire ; dossier technique pour chaque lot de pilulier réalisé (absence de pesticides, de métaux lourds,…) ;
- Mise sur le marché: compléments alimentaires validés et produits sont prêts à être commercialisés sur le marché sélectionné via les canaux de distribution choisis par le fabricant.
Quelle est la chaîne de production des compléments alimentaires ayurvédiques Ayu’in?
Chez Ayu’in, nous avons scrupuleusement suivi les différentes étapes en nous entourant de professionnels qualifiés en fonction de nos besoins.
N’étant pas issues du secteur des compléments alimentaires, nous nous sommes entourés, dès le début du projet, d’une consultante experte dans la fabrication des compléments alimentaires et dans l’importation de plantes ayurvédiques biologiques.
Le choix des producteurs de plantes ayurvédiques a été guidé en fonction des valeurs qui nous sont chères. Ainsi, nous avons privilégié les récoltants de plantes biologiques cultivées de manière éthique et dans le respect de l’environnement.
Avant d’être acheminées en France, les plantes sont récoltées, transformées en poudre et testées par un laboratoire indien certifié. Aucune plante, ni aucune étape de leur transformation n’a transité par la Chine.
Nos formules ont été créées et validées par des experts, puis soumises à la DGCCRF.
Dès réception du retour de la DGCCRF, nos matières premières ont été envoyées chez notre façonnier afin qu’il puisse à son tour les tester. Les formules ont ainsi été également analysées et validées par le façonnier avant que la production ne soit lancée pour la mise en vente de notre première gamme de compléments alimentaires ayurvédiques sur le marché français.
Nous avons choisi de travailler avec un laboratoire français pour la production de nos compléments alimentaires afin de répondre aux normes de qualité et d’hygiène européennes et de privilégier le “made in France”.
Existent-ils des contre-indications à la prise de compléments alimentaires ayurvédiques ?
Les compléments alimentaires ayurvédiques doivent s’accompagner d’une alimentation et d’une hygiène de vie saines et équilibrées.
Ainsi, toute personne qui, soucieuse de sa santé, souhaite s’inscrire dans une démarche de prévention, peut consommer des compléments alimentaires ayurvédiques.
Ayu’in a choisi de proposer, dans un premier temps, des compléments alimentaires ayurvédiques tridoshiques, afin qu’ils puissent convenir au plus grand nombre.
Les personnes qui souffrent de maux récurrents tels que des troubles digestifs, une fatigue générale, du stress, peuvent choisir de consommer des compléments alimentaires ayurvédiques afin d’agir sur leur santé.
Il est évident qu’en cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin ou thérapeute qui pourra conseiller la prise de compléments alimentaires adaptés.
Si une plante présente une contre-indication, celle-ci sera écrite sur l’étiquette du produit. De plus, il est important de bien suivre les dosages indiqués ou conseillés par le thérapeute et de s’informer sur les contre-indications de certaines plantes en cas de doute.
Il est préférable de ne pas donner de compléments alimentaires aux enfants et aux femmes enceintes ou allaitante sans avoir consulté un médecin ou un thérapeute.